Par curiosité vous êtes entré visiter ..."Les Clins d'Oeil de Daniel"... Nous avons donc un goût commun qui est celui de l'amour de la peinture et du partage de la connaissance acquise... Visitez-le avec tout le plaisir que j'ai de vous le faire découvrir... Bonne promenade le long de mes cimaises virtuelles et encore merci d'avoir poussé ma porte du web !

lundi 15 novembre 2010

Prenez donc la porte !!!

Prendre la porte : c'est bien !
En faire quelque chose : "C'est mieux..."

Ceci fait partie intégrante d'un projet de récupération
(et donc de transformation) en un "objet artistique", 
d'une des 110 portes empruntées à des immeubles
en réhabilitation, ceci afin de leur offrir uneconde vie"...

L'initiative et l'organisation en est assurée par Mme Ne Frays centre social des Hauts-Champs de la ville de (59510)...

 Dévoilée avant l'heure :  "Ma" porte...



vendredi 12 novembre 2010

Trois poètes sont passé...

Trois amoureux des mots sont venus rimer sur "L'éveil à la vie..."
Sachons savourer l'accomodement qu'ils ont créé avec mon image, un apéritif de plaisir d'avant le repas des fêtes qui s'annoncent ! 


"L'éveil à la vie..."

Dans le drap câlin des saisons,
la nature est le fruit vivant,
sa beauté est éprise
d’ombre et de lumière.
L’esprit pur et fantastique
à certains moments,
tout devient magnifique,
émerveillant ceux qui doutent,
la nature a chaque seconde,
elle berce, fascine, enlace, éblouit.
Les coins les plus noirs
brillent à la lueur du matin,
dans ce havre de paix inviolé,
on entend couler
les larmes d’émotion,
l’espérance et le bonheur,
le chant du vent,
à travers les arbres,
la fraîcheur
sur les ruisseaux capricieux.
Avec tant d’amour,
les jeunes oiseaux s’envolent
pépiant doucement
à l’azur la joie éternelle.


Dominique BOUY.  3.12.2010.

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L’éveil à la vie

Si petits et fragiles
Ils avaient échoués là
Comme deux angelots
Emportés par les flots.
Le sable était si fin
Sur leur corps enfantin
Et cette plage immense
Qu’une vague balance
Les berçait doucement
Comme la voile au vent.
Si petits et fragiles
Ils se laissaient dociles
Portés par le courant
De l’océan si bleu
Qui flottait dans leurs yeux.
Tous deux l’un contre l’autre
Leurs bras se rassurant
Leur lit devint la plage
Leur monde le rivage
Ils cherchaient leur maman…

Marel.  12.12.2010.

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L'éveil à la vie

Du regard de l'innocence,
Que seuls gardent les enfants,
Ils contemplent le silence.

Le coeur en effervescence,
Ils voient le beau par instants
Du regard de l'innocence.

Devant cette opalescence
Qu'apportent les jours naissants,
Ils contemplent le silence.

Découvrent l'incandescence
De l'astre aux rayons rasants,
Du regard de l'innocence.

La mer de sa transparence
Vient bercer leurs corps charmants,
Ils contemplent le silence.

Mais le temps sans indulgence
Prendra leurs airs nonchalants.
Du regard de l'innocence,
Ils contemplent le silence.

katia. 13.12.10